Le travail des enfants reste une plaie du monde. Car s’il travaillent, il est évident qu’ils ne peuvent suivre une scolarité normale, sinon une scolarité tout court. C’est encore plus notable pour les petites et jeunes filles. Certains ont à peine 5 ans.
2021 l’Année internationale de l’élimination du travail des enfants
Nus sommes tous concernés, même si ces enfants travaillent bien souvent loin de notre pays. Nous sommes tous concernés parce que leur travail est souvent dissimulé. En effet, il sont à la source de nos chaînes d’approvisionnement. Ils cueille le coton de nos vêtements « pas chers », ils travaillent au fond de mines très dangereuse pour extraire des éléments minéraux, parmi ceux qui nous permettent d’aoir un smartphone dans notre poche. C’est donc bien réel : nous leur sommes redevable de beaucoup d’élements de notre confort.
La moindre des choses est donc de se sentir concernés. Et cela doit faire partie de l’éducation des jeunes citoyens de savoir comment fonctionne « le système ». Des enfants travaillent, parfois deans les mêmes conditions que des animaux. Sans doits. Sans accès à l’éducation. Harcelés, manipulés et peu ou pas payés !
2021 cera l’année du combat international de lutte pour l’éradication de ce fléau. Soyons vigilants !
Pour mieux comprendre les enjeux, il est intéressant de lire ce rapport signé conjointement par l’OIT, l’OCDE, l’OIM et UNICEF
Ce rapport a été édité par le Forum de Paris, en 2019 : « Mettre fin au travail des enfants, au travail forcé et à la traite des êtres humains dans les chaînes d’approvisionnement mondiales »